TÉMOINAGES

Lorsque mon père est décédé subitement il y a moins de deux ans, il a laissé derrière lui ma mère qui souffrait de la maladie de Parkinson depuis 20 ans. Ils vivaient tous les deux aux États-Unis et moi, leur unique enfant, j'avais épousé un Canadien et je vivais au Canada. Ma mère était complètement seule et incapable de prendre soin d'elle-même. Ce fut un désastre. Tous les avocats spécialisés en droit de l’immigration à qui j’ai parlé ont refusé mon dossier et m’ont dit que le Canada n’accorderait « jamais » la résidence permanente à une personne atteinte de la maladie de Parkinson, y compris les avocats spécialisés en droit de l’immigration pour lesquels je travaillais à l’époque. Lorsque j’ai rencontré Richard Serour, il ne s’est pas concentré sur les difficultés, il s’est concentré sur les possibilités. Il a examiné ma situation sous l’angle de ce qui avait le plus de chances de réussir. Il a proposé une stratégie à court et à long terme : obtenir à ma mère un SuperVisa à court terme afin qu'elle puisse rester au Canada pendant plus de 6 mois, et demander la résidence dans le cadre d'un hébergement humanitaire pour le long terme. terme. Il prenait soin de ne pas me donner trop d'espoir, mais il était prêt à faire de son mieux si j'étais également disposé à le faire.

C'est à ce moment-là que Caroline Recine a pris en charge la gestion quotidienne de mon dossier. Elle m'a aidé à rassembler tous les documents et à rassembler les documents requis pour la candidature. À l'époque, j'étais noyé dans les questions successorales suite au décès de mon père et j'essayais de gérer les soins de santé compliqués de ma mère, en plus de gérer mes propres responsabilités au travail et celles de mes enfants – disons simplement que je n'étais pas toujours le plus calme ou le plus joyeux. client. Caroline était incroyablement compréhensive, solidaire et humaine. Elle m'a offert des encouragements et une patience sans fin… mais elle m'a également permis de rester concentré sur les livrables et m'a permis de les réaliser aussi facilement que possible. Chaque fois qu'elle recevait des nouvelles d'Immigration canadienne, elle était enthousiasmée et heureuse que nous soyons passés à l'étape suivante. Je l'ai vraiment considérée comme ma partenaire tout au long du processus de candidature. Et devine quoi? L'« impossible » s'est produit : un peu plus d'un an après avoir soumis la demande dûment remplie, ma mère a obtenu le statut de RP au Canada. Nous devons tout au Conseil canadien de l’immigration. Je les recommande de tout cœur à toute personne ayant besoin d'un avocat spécialisé en droit de l'immigration.